Boas (Franz), « Racial purity », Asia, XL, 1940. Michel Leiris : Michel Leiris est à la fois l’auteur, le narrateur et l’objet de son livre. L'erreur qui fournit un semblant de base théorique au préjugé de race repose principalement sur une confusion entre faits naturels, d'une part, et faits culturels, d'autre part, ou pour être plus précis entre les caractères qu'un homme possède de naissance en raison de ses origines ethniques et ceux qu'il tient du milieu dans lequel il a été élevé, héritage social que trop souvent, par ignorance ou intentionnellement, on omet de distinguer de ce qui est en lui héritage racial, tels certains traits frappants de son apparence physique (couleur de la peau, par exemple) et d'autres traits moins évidents. Toutefois, de leurs physiques différents à leurs mentalités différentes il n'y a nul rapport démontrable de cause à effet ; on observe seulement que ces deux hommes relèvent de deux civilisations distinctes, et cette distinction n'est même pas telle qu'on ne puisse trouver entre eux certaines similitudes liées à l'analogie relative de leurs positions sociales, de même qu'un paysan normand et un paysan mandingue, qui vivent tous les deux de la parcelle de terre qu'ils détiennent, ont chance de présenter un minimum de points de ressemblance, outre ceux que tous les hommes ont de communs entre eux. J.-C). Il est entendu, en outre, que, les sciences dans leur ensemble étant le produit d'innombrables démarches et processus divers auxquels toutes les races ont contribué depuis des millénaires, elles ne peuvent en aucune manière être regardées par les hommes à peau blanche comme leur apanage exclusif et le signe, en eux, d'une aptitude qui leur serait congénitale. Il résulte de tout ceci que, s'il reste bien entendu que tous les individus ne naissent pas également doués au point de vue [26] psychologique, leur appartenance à tel ou tel groupe ethnique ne permet pas de préjuger les aptitudes diverses qu'ils pourront présenter, alors qu'inversement le milieu culturel est un élément de premier plan, non seulement parce que dépendent de lui le contenu et la forme de l'éducation dispensée à l'individu envisagé, mais parce qu'il représente à proprement parler le « milieu » au sein duquel et en fonction duquel cet individu réagit. They will be reviewed and considered by a member of the curatorial staff. C'est donc plutôt par la considération de ce qu'a été l'histoire des différents peuples que par celle de leur actuelle situation géographique que trouverait à s'expliquer leur diversité culturelle : connaissances acquises dans les milieux différents qu'ils ont traversés au cours des pérégrinations (souvent longues et compliquées) qui ont précédé leur installation dans les aires où nous les voyons aujourd'hui, état d'isolement plus ou moins grand dans lequel ils ont vécu ou bien, inversement, contacts qu'ils ont eus avec d'autres peuples et possibilités d'emprunts à des cultures différentes, tels sont les facteurs tous liés directement à l'histoire de ces peuples qui semblent jouer un rôle prépondérant. Par-delà la division politique en nationalités, on peut à n'en pas douter répartir les hommes en groupes caractérisés par une certaine communauté de comportement, mais c'est en fonction des « cultures » diverses autrement dit, en se plaçant au point de vue de l'histoire des civilisations qu'on peut constituer de pareils groupes, qui ne coïncident pas avec les groupes établis à partir de similitudes dans l'apparence corporelle et ne peuvent pas être ordonnés selon une hiérarchie fondée sur autre chose que des considérations pragmatiques dénuées de toute valeur absolue puisque nécessairement liées à notre propre système culturel ; hiérarchie qui ne vaut, au demeurant, que pour un temps donné, les cultures encore plus que les races étant douées de mobilité et tel peuple étant capable d'une évolution culturelle très rapide après de longs siècles de quasi-stagnation. De tels changements peuvent s'opérer de deux façons : innovation venant de l'intérieur de la société, sous la forme d'une invention ou d'une découverte ; innovation venant de l'extérieur, sous la forme d'un emprunt (spontané ou s'effectuant sous contrainte). Nous tendons à voir dans la race le fait primordial, celui dont le reste découle, et, si nous considérons qu'il existe aujourd'hui un nombre considérable d'hommes de race jaune et de race noire qui exercent les mêmes métiers et vivent dans le même cadre que les blancs, nous sommes portés à voir là une sorte d'anomalie, à tout le moins une transformation artificielle, comme si à leur vrai fond s'était surajouté quelque chose d'étranger à eux-mêmes, qui altérerait leur authenticité. Fondation « Pour la Science », Première semaine internationale de synthèse, 2e fascicule. Les grands fondateurs de religions (tels le Bouddha, Jésus ou Mahomet) ne sont jamais que des réformateurs procédant à la refonte plus ou moins complète d'une religion préexistante ou de purs syncrétistes combinant en un système inédit des éléments de provenances diverses ; de même, la réflexion philosophique ou morale, dans une culture donnée, s'attache à des problèmes traditionnels qu'on pose et qu'on résout de manières différentes suivant les époques et sur lesquels peuvent être émises, simultanément, des opinions divergentes mais n'en relevant pas moins d'une tradition, en ce sens que chaque penseur reprend toujours la question au point où l'a laissée un de ses prédécesseurs ; une œuvre littéraire ou plastique, elle aussi, a toujours ses antécédents, pour révolutionnaire qu'elle puisse paraître : les peintres cubistes, par exemple, se sont réclamés de Paul Cézanne qui était un impressionniste et ils ont trouvé dans la sculpture négro-africaine, en même temps que certains [29] enseignements, un précédent qui leur permettait de justifier la légitimité de leurs propres recherches ; dans le domaine des relations sociales proprement dites, le « non-conformiste » quel qu'il soit il en est chez tous les peuples et dans tous les milieux s'inspire généralement d'un précédent et, s'il innove, se borne à reprendre en allant plus loin ou plus délibérément ce qui, chez d'autres, est demeuré plus ou moins velléitaire. D'aucuns peuvent avancer qu'il n'est pas difficile de reconnaître un Anglais d'après certains caractères extérieurs qui lui composent une allure propre : sobriété de gestes (s'opposant à la gesticulation qu'on attribue d'ordinaire aux gens du Midi), démarche, expressions du visage traduisant ce qu'on désigne sous le terme assez vague de « flegme ». Nous sollicitons votre aide durant tout le mois de décembre 2020 pour nous aider à poursuivre notre mission de démocratisation de l'accès aux savoirs. Mais il a fallu à l'intelligence occidentale un temps beaucoup plus long pour admettre que des peuples peu avancés au point de vue technique et n'ayant pas d'écriture à eux comme c'est le cas, par exemple, de la majorité des noirs d'Afrique, des Mélanésiens et des Polynésiens, des actuels Indiens des deux Amériques et des Esquimaux (bien qu'on puisse trouver chez telles de ces populations l'emploi de la pictographie ou celui de signes mnémoniques) possèdent néanmoins leur « civilisation », c'est-à-dire une culture qui, même si l'on envisage les groupes les plus humbles, s'est révélée à un certain moment (en admettant qu'elle ait perdu cette capacité ou qu'elle soit même en régression) douée de quelque pouvoir d'expansion et dont certains traits apparaissent comme communs à plusieurs sociétés distribuées sur une aire géographique plus ou moins vaste. Il fuyait ses ennuis métropolitains, emportant avec lui un primitivisme d’avant-garde qui obscurcissait sa perception de l’Afrique, de ses peuples et de ses cultures. [La traduction française du livre est disponible dans Les Classiques des sciences sociales sous le titre : De l’homme. Oil and pencil on canvas. Or, Leiris écrit son livre alors qu’il n’a qu’une trentaine d’années…. 111. Écrit par une personne plutôt âgée, à la fin de sa vie. (Eridanos Press, P.O. D'une manière générale, les Occidentaux modernes s'émerveillent des inventions et découvertes qui peuvent être portées à l'actif de leur civilisation et s'imagineraient pour un peu qu'ils ont, dans ce domaine, un monopole. La langue elle-même, instrument et condition de la pensée, ne peut servir à établir une hiérarchie entre elles : on trouve, par exemple, des formes grammaticales très riches dans les parlers de peuples sans écriture et regardés comme « non civilisés ». Loin d'être limitée à ce qu'on entend dans la conversation courante quand on dit d'une personne [22] qu'elle est ou qu'elle n'est guère « cultivée » (c'est-à-dire pourvue d'une somme plus ou moins riche et variée de connaissances dans les principales branches des arts, des lettres et des sciences tels qu'ils se sont constitués en Occident), loin de s'identifier à cette « Culture » de prestige qui n'est que l'efflorescence d'un vaste ensemble par lequel elle est conditionnée et dont elle n'est que l'expression fragmentaire, la culture doit donc être conçue comme comprenant, en vérité, tout cet ensemble plus ou moins cohérent d'idées, de mécanismes, d'institutions et d'objets qui orientent explicitement ou implicitement la conduite des membres d'un groupe donné. Ces réserves expressément formulées, on peut souligner l'importance capitale que la technologie (soit les moyens d'agir sur l'environnement naturel) a non seulement pour la vie même des sociétés, mais pour leur développement. En étudiant l’extrait, vous vous interrogerez aussi sur la question de l’autobiographie. Appliqué à de larges groupes au passé tumultueux et répartis sur de vastes aires, le mot « race » signifie simplement que, par-delà les distinctions nationales ou tribales on peut définir des ensembles caractérisés par certaines concentrations de caractères physiques, ensembles temporaires, puisqu'ils procèdent de masses nécessairement changeantes (par leur mouvement démographique même) et engagées dans un jeu historique de contacts et de brassages constants. J.-C), puis la conquête romaine, épisodes qui les amenèrent à de nombreux mélanges, avant même la Diaspora ou dispersion dans tout l'Empire romain, qui suivit la destruction de Jérusalem par Titus (70 ap. Private collection. Prose – Michel Leiris. Les grandes étapes de l'histoire de l'humanité sont marquées par des progrès techniques qui ont eu de profondes répercussions sur tous les autres domaines culturels : fabrication d'outils et usage du feu, à l'aube des temps préhistoriques et avant même l’Homo sapiens ; production de nourriture grâce à la domestication des plantes et des animaux, ce qui a permis des peuplements plus denses et a amené des groupes humains à s'établir en villages (qui représentaient une transformation notable de l'environnement naturel) et, la spécialisation des tâches croissant, à développer des artisanats, tout cela impliquant un élargissement économique qui donnait une marge [42] suffisante pour des développements considérables dans d'autres branches ; production de la force, qui marque le début de l'époque moderne. Certes comme le fait remarquer l'auteur de l'article cité il n'a pas manqué d'anthropologues pour dénoncer le caractère conventionnel des traits selon lesquels on répartit l'espèce humaine en groupes différents et assurer, d'autre part, qu'il ne saurait exister de races pures ; et l'on peut, de surcroît, regarder aujourd'hui comme établi que la notion de « race » est une notion d'ordre exclusivement biologique dont il est impossible à tout le moins dans l'état actuel de nos connaissances de tirer la moindre conclusion valable quant au caractère d'un individu donné et quant à ses capacités mentales. RACIALE INNÉE. Alcan, Paris, 1902. Le Gentleman (The Gentleman) 1924. Objet d’étude : le biographique. Pratiquement, une race ou sous-race se définira comme un groupe dont les membres se tiennent, en moyenne, dans ces limites arbitrairement choisies quant aux divers caractères physiques retenus comme différentiels et il se produira, d'une population à l'autre, des chevauchements, les éléments les plus clairs de peau, par exemple, dans des populations considérées comme de race noire étant parfois aussi peu foncés voire moins foncés que les éléments les moins clairs dans des populations considérées comme de race blanche. La langue qui «fourche» est un outil d'expérimentation du langage. Quant aux tests psychologiques, à mesure qu'on les a perfectionnés de manière à éliminer le plus possible les différences dues à l'environnement physique et à l'environnement social (soit l'influence exercée par l'état de santé, le milieu, l'éducation reçue, le degré d'enseignement, etc. • Puisque le récit est centré sur l’auteur => multiplicité des marques de 1e personne. In 1930, Michel Leiris was an aspiring poet drifting away from the orbit of the Surrealist movement in Paris when the anthropologist Marcel Griaule invited him to serve as the “secretary-archivist” for the Mission Dakar-Djibouti, a major collecting and ethnographic journey that traversed the African continent between May 1931 and February 1933. Michel Leiris (1901 90) was one of the most influential French intellectuals and writers of the twentieth century. The title of my dissertation, Rational Enchantment, then, describes this poéthique process. It explores Leiris's participation in some of the most striking intellectual and artistic movements of the twentieth-century: surrealism, ethnography and existentialism. Nul besoin d'insister sur les ravages auxquels l'idée d'une supériorité congénitale de la prétendue « race aryenne » a servi de prétexte. Best known for his four-volume autobiography La r gle du jeu (1948 76), he was the author of an astonishing range of works including poetry, criticism, ethnography, sociology, and art history. CORRECTION du BILAN DE SEQUENCE autobiographie. Toutefois, de conditions bio-géographiques similaires des techniques différentes permettent de tirer des partis différents : en Asie tropicale, par exemple, la pratique traditionnelle de la rizière inondée (comme le fait remarquer M. Pierre Gourou) a permis depuis longtemps des peuplements très denses, alors que la pauvreté et l'instabilité des sols s'y sont opposées presque partout en zone tropicale, là où sont pratiquées les cultures sèches sur brûlis. Le préjugé racial n'est pas inné : comme le note M. Ashley Montagu, « en Amérique, là où blancs et noirs vivent fréquemment côte à côte, il est indéniable que les enfants blancs n'apprennent pas à se considérer comme supérieurs aux enfants nègres tant qu'on ne leur a pas dit qu'il en était ainsi » ; quand, d'autre part, on constate chez un groupe tenu à l'écart une tendance au racisme (se manifestant soit par l'endogamie volontaire, soit par l'affirmation plus ou moins agressive des vertus de sa « race »), il faut n'y voir qu'une réaction normale d' « humiliés et offensés » contre l'ostracisme ou la persécution auxquels ils sont en butte et n'en pas faire un indice de la généralité du préjugé racial. L'histoire de l'Afrique noire (partie du monde alors pourtant handicapée par un relatif isolement, avant d'être bouleversée par les razzias des esclavagistes musulmans, le trafic des négriers européens et, finalement, la conquête coloniale) nous apprend qu'à une époque contemporaine de notre moyen âge elle a connu des empires qui, tel celui de Ghana en Afrique occidentale, suscitèrent l'admiration des voyageurs arabes ; et l'on y trouve aujourd'hui en Nigeria par exemple de grandes villes dont la fondation est antérieure à l'occupation européenne alors que l'organisation politique de maintes tribus négro-africaines semble, en revanche, n'avoir jamais dépassé le cadre du village. Exposé par Lucien Febvre, E. Tonnelat, Marcel Mauss, Alfredo Niceforo, Louis Weber. Là encore, ce qui joue est le facteur culturel plutôt que le facteur racial. le classement est relativement simple : il est des peuples qui, sans conteste possible, appartiennent à l'une ou l'autre des trois branches ; nul ne saurait se récrier si l'on dit qu'un Anglais est un blanc, un Baoulé un noir ou un Chinois un jaune. Et qui pourrait oublier que le développement de nos sciences, s'il nous a permis d'accomplir d'indéniables progrès, dans le domaine sanitaire par exemple, nous a permis en revanche de perfectionner à tel point les moyens de destruction que les conflits armés ont pris depuis quelques dizaines d'années l'ampleur de véritables cataclysmes ? Ajoutons quelques précisions pour permettre au lecteur de s'y repérer : Leiris utilise le recto des feuilles et corrige généralement au verso de cette même feuille. N'empêche que le racisme, avoué ou inavoué, continue à exercer ses ravages et que le genre humain, aux yeux du plus grand nombre, continue d'être divisé en groupes ethniques clairement délimités, doués chacun de sa mentalité propre, transmissible par l'hérédité, étant admis comme une vérité première qu'en dépit des défauts qu'on peut lui reconnaître et des vertus qu'on veut bien croire inhérentes à certaines des autres races, c'est la race blanche qui occupe le sommet de la hiérarchie, au moins par les peuples qui passent pour les meilleurs de ses représentants. Dans le cas de petites sociétés relativement stables et isolées (soit telle communauté esquimau vivant, en économie presque fermée, de la chasse aux phoques et autres mammifères aquatiques), les représentants des divers lignages constitutifs de la communauté ont à peu près la même hérédité et l'on pourrait, alors, parler de pureté raciale. Les corrections au fil de la plume sont rares, ainsi que les corrections interli-néaires. À cette époque, il eût été difficile de prévoir que les Européens seraient, un jour, des fondateurs d'empires. Le mot et l’idée. Dans la mesure où la culture comprend tout ce qui est socialement hérité ou transmis, son domaine englobe les ordres de faits les plus différents : croyances, connaissances, sentiments, littérature (souvent si riche, alors sous forme orale, chez les peuples sans écriture) sont des éléments culturels, de même que le langage ou tout autre système de symboles (emblèmes religieux, par exemple) qui est leur véhicule ; règles de parenté, systèmes d'éducation, formes de gouvernement et tous les modes selon lesquels s'ordonnent les rapports sociaux sont culturels également ; gestes, attitudes corporelles, voire même expressions du visage, relèvent de la culture eux aussi, étant pour une large part choses socialement acquises, par voie d'éducation ou d'imitation ; types d'habitation ou de vêtements, outillage, objets fabriqués et objets d'art toujours traditionnels au moins à quelque degré représentent, entre autres éléments, la culture sous son aspect matériel. 1- La contraction : Michel Leiris Cinq études d'ethnologie, extrait 730 mots 2- L'essai : préparer la réflexion à l'oral "Le voyage et le tourisme favorisent … Review Essay: The Holofernes Complex A new edition of Michel Leiris’ Manhood Emmanuel Delille1 L’Âge d’homme preceded by L’Afrique fantôme, by Michel Leiris. D. Appleton-Century Company, New York, London, 1945. C'est à partir du moment où l'on essaye, au sein de chacun des trois grands groupes, de distinguer des sous-groupes qu'apparaît ce qu'il y a de trompeur dans l'idée qu'on se fait communément de la race. C'est avec une amère ironie qu'on observera que le développement du racisme s'est effectué parallèlement à celui de l'idéal démocratique, quand il a fallu recourir au prestige nouvellement acquis de la science pour rassurer les consciences chaque fois que, de façon trop criante, on violait ou refusait de reconnaître les droits d'une portion de l'humanité. « L'histoire de l'humanité, écrit Franz Boas, prouve que les progrès de la culture dépendent des occasions offertes à un groupe donné de tirer un enseignement de l'expérience de ses voisins. Michel Leiris: Nights as Day, Days as Night; Shelf for a Lost Voice / The Library at Akerman Daly …and the name of the next book is; Smarginature: Residues, Rebeginnings, Untranslated-in-Translation; Untranslated at minor literature[s] / Fleur Jaeggy, Le statue d’acqua; Beginning to Write After Clarice, After Clarice’s (Echo and Dub Versions) The LYD Writing Research Residencies / The Sc Michel Leiris (1901–90) was one of the most influential French intellectuals and writers of the twentieth century. Licence de Portugais, Université de Haute-Bretagne, 1980. Puis diverses races se succèdent : au paléolithique moyen on a l'homme de Neanderthal (variété très primitive de l'espèce Homo sapiens ou espèce à part) ; au paléolithique supérieur se manifestent les représentants de l’Homo sapiens actuel : races de Cro-Magnon (dont des restes se retrouveraient aujourd'hui parmi les habitants des îles Canaries descendant des anciens Guanches), de Chancelade (que certains de ses traits ont fait rapprocher, à tort, des Esquimaux), de Grimaldi (dont le type évoque les négroïdes actuels). Nombreuses ratures et corrections. Les hommes qui diffèrent de nous par la culture ne sont ni plus ni moins moraux que nous ; chaque société possède son idéal moral selon lequel elle distingue ses bons et ses méchants et l'on ne peut, assurément, juger de la moralité d'une culture (ou d'une race) d'après le comportement, parfois blâmable à notre point de vue, de tels de ses représentants dans les conditions très spéciales que crée pour eux le fait d'être assujettis au régime colonial ou brusquement transplantés dans un autre pays comme travailleurs (qui mèneront, dans la majorité des cas, une existence misérable) ou bien à titre militaire. Superbe texte de combat: contribution de Michel Leiris au Congrès culturel de la Havane en janvier 1968, accompagnée d'un … À travers tous les événements de son histoire (qui ne semblent pas avoir influencé notablement le type physique, fixé de très bonne heure, mais qui ont eu des conséquences culturelles), elle aura été le théâtre où évolua, sans trop d'à-coups, une civilisation dont l'oasis constituée par les rives du Nil (fertilisées grâce aux crues annuelles du fleuve) était le support matériel ; à l'époque hellénistique, Alexandrie, capitale des Ptolémées, a joui d'un éclat considérable lié à son caractère de ville cosmopolite, située au carrefour de l'Afrique, de l'Asie et de l'Europe. TEXTE 1 : Michel Leiris, L’Âge d’homme (1939) TEXTE 2 : Combray, adaptation et dessin de Stéphane Heuet (1998) TEXTE 3 : François Cavanna, Les Ritals (1978) Sujet (PDF de 1.3 Mo) Métropole - … What, for me, is the sacred? Maîtrise de Français, langue et littérature médiévales, (mention très bien), Université de Haute-Bretagne, Rennes, France, 1981. Si mes souvenirs sont justes, je m'imaginais que nous allions au cirque ; j'étais donc très loin de prévoir le tour sinistre que me réservaient le vieux médecin de la famille, qui assistait le chirurgien, et ce dernier lui-même.
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